Le secret pour gérer les contrariétés (Rick Warren)
Le secret
pour gérer les contrariétés
"Celui qui a du bon sens est patient […]." Proverbes 19.11
C'est incroyable de constater que quinze incidents mineurs au bureau peuvent s'accumuler au point que votre attitude au moment de rentrer chez vous s'en ressent fortement. Les contrariétés sont généralement de trois ordres :
Essayez plutôt de minimiser les contrariétés. Traitez-les comme
des incidents insignifiants.
1. Les
interruptions. Des visites ou des coups de fil inattendus quand vous avez
une échéance à respecter ou qu'un point important requiert votre attention. Nos
plans les plus parfaits souffrent souvent d'interruptions.
2. Les désagréments. Si les interruptions sont généralement le fait de
personnes, les désagréments sont souvent liés à des situations
matérielles : la photocopieuse tombe en panne, il y a des bouchons sur la
route ou vous ne trouvez pas ce dont vous avez besoin au moment où il vous le
faut.
3. Les irritations. Des délais trop longs, des personnes peu fiables, un
interlocuteur impossible à joindre au téléphone, un rhume, des clients
pénibles, etc.
Le fait est que vous devez vivre avec tout cela. À l'évidence, vous serez
confronté à ces trois types de contrariétés au cours de cette semaine. Par
contre, vous pouvez éviter qu'elles vous stressent. Quel est le secret
pour gérer les contrariétés ?
Ne leur résistez pas, mais ne réagissez pas de façon excessive ou en vous
emportant. Ne vous irritez pas ; n'intériorisez pas votre colère. Ne vous
résignez pas ; ne vous posez pas en victime.
Essayez plutôt de minimiser les contrariétés. Traitez-les comme des incidents
insignifiants. Replacez-les dans leur juste perspective. Ce ne sont rien de
plus que de petits ennuis sans importance, ils font partie de la vie, pas de
quoi en faire toute une histoire. Ils ne valent certainement pas une crise
cardiaque.
Respectez ces règles de gestion du stress :
- Règle numéro 1 : Ne vous laissez pas abattre par des futilités.
- Règle numéro 2 : Prenez conscience qu'il s'agit justement de
futilités.
La Bible dit : "Celui qui a du bon sens est patient […]" (Proverbes 19.11).
Le seul moyen de regarder les futilités comme telles est de les voir depuis la
perspective divine. Quand je suis sur la même longueur d'ondes que Dieu, je me
rappelle qu'il a le contrôle de la situation, même si ce n'est pas le cas pour
moi ! Inutile donc de me mettre dans tous mes états. "Mais le fruit
de l'Esprit est : amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance,
fidélité, douceur, maîtrise de soi" (Galates 5. 22-23).
Une action pour aujourd'hui :
Adressez cette prière à Dieu : "Seigneur, aide-moi
à être rempli de ton amour, de ta joie et de ta paix, pour que, dans les
moments où je suis sous pression, ce soient ton amour, ta joie et ta paix qui
émanent de moi."
Rick Warren
(Source : TopChrétien)
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